Ostéopathie hybride : soulagement immédiat, résultats durables
Guillaume Sorel, Ostéopathe à Bègles
❝ Fort de mes 15 années d'expérience internationale en France, aux États-Unis et en Australie, j'ai découvert que mes traitements manuels, fasciathérapie et crânio-sacrée, peuvent être optimisés en les associant à des technologies de santé optimale.❞


Pourquoi cette approche est différente
Très tôt dans ma pratique, j’ai constaté que la douleur se réduit rarement (sauf traumatisme direct comme une fracture ou une entorse) à une articulation, un nerf ou un muscle isolé.
Elle est très souvent le reflet d’un déséquilibre global, où plusieurs systèmes interagissent.
C’est particulièrement vrai dans les douleurs chroniques (supérieures à 3 mois).
Pour comprendre et traiter ces déséquilibres, il ne suffit pas d’agir uniquement au niveau mécanique : il faut descendre au niveau subcellulaire et biophysique, là où se jouent les véritables régulations.
Un langage commun : électrons, protons et photons
Chaque technique que j’utilise — manuelle ou technologique — vise en réalité le même objectif : optimiser la fonction des mitochondries, présentes en nombre variable selon les tissus :
quelques centaines par cellule musculaire,
plusieurs milliers dans le cœur, le foie ou le cerveau, où la demande énergétique est immense.
À ce niveau, on parle des flux d’électrons, de protons et de photons qui conditionnent directement le fonctionnement cellulaire.
Quand ces flux ralentissent ou se désorganisent, la communication interne perd en efficacité, et l’homéostasie est perturbée : la cellule produit moins d’énergie, répare moins bien ses tissus et laisse la douleur s’installer.
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Les techniques manuelles : mécano-transduction et conduction bioélectrique
L’ostéopathie et la fasciathérapie ne se limitent pas à restaurer une mobilité articulaire.
La manipulation des fascias induit des phénomènes piézoélectriques et flexoélectriques au sein du collagène.
Comme l’ont montré les travaux de James Oschman sur la Living Matrix, la mise en tension du réseau collagénique génère des déplacements d’électrons, transmis ensuite via l’eau structurée interstitielle (EZ water).
Ce réseau agit comme une autoroute de conduction bioélectrique et informationnelle, complémentaire au système nerveux.
La Photobiomodulation (PBM) : stimuler les mitochondries par la lumière
Les photons du rouge et de l’infrarouge proche sont absorbés par la cytochrome c oxydase mitochondriale.
Résultat :
augmentation du flux d’électrons dans la chaîne respiratoire,
stimulation de la production d’ATP,
modulation des voies de signalisation intracellulaire (ROS, NO, Ca²⁺).
La PBM restaure ainsi la bioénergie mitochondriale, optimise la régénération tissulaire et réduit l’inflammation chronique.
Le Frequency Specific Microcurrent (FSM) : micro-courants d’information
Contrairement à l’électrostimulation classique, le FSM applique des micro-courants d’intensité physiologique (imperceptibles), modulés par des fréquences spécifiques.
Ces signaux interagissent directement avec les propriétés résonantes des tissus, influençant :
la conformation protéique,
l’expression génétique,
les mécanismes de réparation cellulaire.
L’effet n’est donc pas seulement neuromusculaire, mais profondément bioélectrique et informationnel.
L’idée centrale
Techniques manuelles = mécano-transduction → piézoélectricité → électrons/biophotons
PBM = photons → mitochondries → ATP + signalisation cellulaire
FSM = micro-courants spécifiques → modulation protéique et génétique